L’emprise des femmes – Résumé et critiques

 

9782363265210_1_75

 

Date de parution : 11/11/2013 –
Prix TTC : 9 € – ISBN : 2363260244 – Nombre de pages : 128
aussi disponible ⇒ en format e-pub au prix de 5.99 euros

 

Parce qu’il ne veut pas mourir sans mettre au grand jour  l’homme qu’il fut réellement, un vieil homme politique contacte une écrivaine pour lui raconter sa sulfureuse vie off.

D’après ses révélations et les documents qu’il lui confie,  celle-ci accepte de redonner voix  à chacune de ses maîtresses, qui  toutes, ont su faire de cet homme de pouvoir, un amant  prenant plaisir en  à subir leurs volontés, parfois bien cruelles.

L’écrivaine  se prend au jeu de la séduction des joutes cérébrales et érotiques, celles des maîtresses qu’elle relate et celles qu’elle-même  nourrit avec cet homme.

Ainsi,  dans ce roman choral, le livre est dans le livre… Dans chaque chapitre, l’écrivain donne la parole soit à une des maîtresses, soit à l’amant, soit à elle-même, tous racontant  leur histoire secrète,  révélant le pouvoir des femmes même sur des hommes puissants

 

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– des extraits sonores ici 

Quatre femmes racontent comment elles ont exercé leur emprise sur leur amant commun, un homme politique pourtant rompu à l’exercice du pouvoir.

Au crépuscule de son existence, cet homme décide de livrer le récit de sa vie intime à une écrivaine. À travers ses confidences romancées par l´auteure, il dévoile la manière dont il a pris plaisir à subir la tyrannie de certaines de ses maîtresses. Car si le pouvoir résidait habituellement entre ses mains, il n´était guère plus qu´un pantin sous l´effet du désir charnel.

S´exhibant victime de lui-même autant que de la cruauté de ses « conquêtes », qu´inspirera-t-il à cette femme à laquelle il se raconte ?


Ce roman édité chez Tabou édition n’est pas un livre « érotique » classique, ni un roman SM,  mais il raconte la vie  très privée d’un homme publique.

NB   :  Ce roman est plutôt un récit quelque peu romancé. Dominique Allienne, l’homme politique  existe bien, il est aussi sous un autre pseudo Claude Alter qui a publié 700 000 cigarettes. Ces histoires d’emprises cérébrales qui ont marqué sa vie sont donc bien  réelles, il a  en effet contacté l’écrivaine pour lui demander d’écrire ce livre, celle-ci a travaillé sur ses textes  et documents confiés puis a  construit le personnage de la romancière pour articuler les confidences du vieil homme.


→ Un entretien avec le personnage du roman


Critiques 

 

janvier 2016 sur Babelio

Babelio L'emprise des femmes


Lire sur Webzine SENTIMENT MODERNE  :

« Un homme politique dévoile son plaisir à subir la tyrannie de ses maîtresses »

[L’emprise des femmes ne me semble pas s’annoncer comme un livre « SM ». Il y a désormais tant de parcours convenus dans ce registre depuis « 50 Shades of Grey ».
C’est pourtant bien la relation d’une emprise cérébrale très forte. Le récit troublant, émouvant parfois, porté par un homme qui a souhaité que sa part d’ombre ne soit pas oubliée à jamais.
C’est une histoire d’emprise mentale, celle d’un homme de pouvoir qui veut témoigner qu’il a été soumis à la force des femmes ce qui montre bien que sous les apparences, les rapports de soumission de sont pas toujours dans le sens où on les attend.
Ce roman, comme « Perle » et « L’eau à la bouche » du même auteur, élèvent le niveau de la littérature érotique contemporaine et pas l’inverse !
Dans ce roman à plusieurs voix se révèle l’implacable puissance de la chair, autant que ses faiblesses.]


FNAC

06/05/2013 — Source : FNAC
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La Charente Libre

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Lire l’article sur le site journal 02/03/2013 — Source : La Charente Libre
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Sud-Ouest

 

« Dans mes bouquins, les femmes ne sont pas de petites choses soumises »

Anne Bert, une auteure saintaise, sort son dernier livre, intitulé « L’Emprise des femmes »,

→ Lire l’article du 14/02/2013 — Source : Sud-Ouest
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Archambault, l’art de vous divertir (Canada)

Customer Reviews

 dualité homme femme

by : bouzerand, 19 January 2013

Un texte dissonant sur le pouvoir des femmes. Intéressante multiplicité des voix pour raconter comment un homme politique (sans doute donc de tout pouvoir) peut se laisser dominer par ses maîtresses et son addiction au sexe. On pense aux affaires d’un certain homme politique français… L’enfermement dans le secret de la débauche est bien transcrit par les récits un peu étouffants et l’évocation de la mort.

Un livre très chaud, qui laisse altéré

by : memling, 18 January 2013

Une trajectoire qui mène de la tendresse à la destruction mutuelle entre des amants improbables. La passion fatale de l’homme mûr pour une jeune carnassière (« mon amour de ma nuit des temps ») va se dégrader dans une relation de cruauté mutuelle avec une nymphomane (« mon doudou »), puis dans sa condamnation à payer « le prix de son hymen » à une rosière/sorcière. Sa punition sera dans son dressage par une femme dominatrice : la « Circée » de tous les temps; et sa rédemption dans le fait que la romancière en tombe éprise parce les mots du vieux nostalgique sont plus forts que le vit d’un violeur, et elle devient ainsi, dans l’extrême, « sa dernière fols » en le faisant aussi jouir en lui contant ces tournantes où elle se donne à tous afin, les yeux dans les yeux, de satisfaire son amant.

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Terre Marine FM

Jean-Louis Bresson a consacré son émission A vrai dire à mon roman et m’a reçue de 19h à 20 h.

le podcast complet est disponible sur cette page 

09/01/2013
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Roomantic

Extrait de l’article

[…..l’auteure nous plonge dans l’histoire d’un ancien homme politique qui a toujours vécu dans le pouvoir. Celui-ci demande à une romancière de retranscrire sa vie de débauche passée et cachée. Nous découvrons alors l’influence de ses maîtresses dans sa vie. Dans une lutte constante d’ascendance sur l’autre, elles travaillent insidieusement une dépendance en exploitant les multiples faiblesses de leur proie masculine. Le malaise et la frustration d’être reléguée au statut d’amante exacerbe chez elles les sentiments les plus malsains et pervers….

….D’un chapitre à l’autre, le style d’écriture est parfois grandiloquent, parfois facile d’accès. Ce manque d’homogénéité peut être assez déroutant. Néanmoins, L’emprise des femmes traite avec justesse du machiavélisme dont peut faire preuve une femme pour satisfaire ses funestes envies de domination. Ce roman ne traite pas de rapports BDSM comme d’un mode de vie ou un stimulant sexuel. Il s’agit ici des pires déviances possibles dans un rapport de domination et soumission dictées par une amertume allant jusqu’à la haine profonde de l’autre….

…..Le résultat est intéressant et offre un regard inhabituel sur certains rapports entre hommes et femmes……]

→ lire l’article entier du 24/12/2012 sur la Source : Roomantic
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radio Nova

 Sur RADIO NOVA , dans l’émission « NOVA BOOK BOX »  du 19 décembre 2012  , de 22.10 à minuit : lecture d’un extrait de L’Emprise des femmes à 23.40.  (à partir de la minute 41’38 ) .

19 décembre, 2012 – 23:00

Nova Book Box du 19 Décembre

Lectures:

22h10: Les Robins des Bois, L’Histoire de France de avant à maintenant (« la campagne d’Egypte à Napoléon. »).
22h25: Edouard Launet, Viande froide cornichons (« Mortelle la musique »).
22h40: Sébastien Lapaque, La Convergence des Alizés.
23h00: Chuck Klosterman, Sexe, drogues & pop-corn (« Magicien, cheval & Adolf. »).
23h10: Yves Sente & André Juillard, Le Serment des cinq lords.
23h25: Nausica Zaballos, Crimes & procès sensationnels à Los Angeles (1922-1962)(« Comptine de l’enfant découpée en morceaux. »).

23h40: Anne Bert, L’Emprise des femmes.

 

Nova Book Box
play

http://www.novaplanet.com/radionova/bientot-nova-book-box-nova-book-box-191212

19/12/2012 — Source : radio Nova
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RTBF 1ère

Emission Parlez-moi d’amour de 22.00 à minuit consacrée à le sexualité et la maladie, ainsi qu’à mon roman L’emprise des femmes.

Entretien  la première heure avec la journaliste Gabrielle Stefanski, suivi d’une lecture d’un extrait durant le deuxième heure.

15/12/2012 — Source : RTBF 1èere
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magazine Fusion’elle

12/12/2012 — Source : magazine Fusion’elle
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20 Minutes

sur le site 20Minutes.fr

07/12/2012 — Source : 20 Minutes
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la Bauge Littéraire

Extrait :

[…Une fois de plus, Anne Bert a fabriqué une de ses petites merveilles dont elle a le secret, patiemment travaillée au burin d’un style qu’elle sait manier comme d’autres le stylet, pétrie d’une culture peu commune qui permet de faire des découvertes à chaque bout de phrase. Et il suffit de se taire, de tendre la main à ses paroles, pour être emporté dans un de ses voyages dont on ne sait pas forcément où ils nous emmènent, mais qui nous laisseront à coup sûr plus riches…..]

→ Lire l’article en entier  du 07/12/2012 — Source : la Bauge Littéraire
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11 commentaires Ajoutez le vôtre

  1. MartinPe dit :

    Et pour diriger cette douce societe utopique, il faut bien un cadre. Donc, hierarchie pyramidale : les chevaliers, les religieux, les simples nazis, les populations asservies, les chretiens (les juifs ayant ete extermine, il faut bien trouver un nouveeau bouc emissaire) et en bout de chaine les femmes consideres comme de simples animaux. Le tout avec falsification de l histoire allant jusqu’a son oubli. Pour l interet historique, c’est reussi meme si parfois la projection est un peu trop satirique, outranciere et appuyee. Mais quelle clairvoyance. Ecrit en 1937, l’anticipation de l’ideologie nazie est parfaitement juste. Pour ceux dont l’histoire ennuie, l’anticipation se suffit-elle seule ? Nous sommes dans une veine assez satirique, avec des personnages reduits a leur simple expression : le candide, l’initie et l’apprenti. Leurs aventures peuvent donc sembler a la limite du rocambolesque. Quelques moments assez hilare cependant a mon sens : comme la decouverte du vrai Hitler par Alfred et Hermann sur une photographie, l’exacte opposee du mythe. Voila pour une premiere partie. Et puis patatras, rupture de ton, on assiste a un dialogue erudit sans fin contredisant la psychologie des personnages. Et comme Hermann, j avais envie de me presenter devant les rhetoriciens et de leur dire que je preferais continuer ma vie d’avant, ou qu’un resume me suffirait.

votre grain de sel