Mais que sait-on de ces solitudes là, de ces silences d’enfance, de ces imaginaires libérés des contraintes et des convenances ? Je me souviens de mes rêves en Technicolor, cachés entre mes tresses comme des trésors . Rien qu’ à moi.
Il me reste de ces années là , précisément celles-ci, le goût du silence et de la rêverie. Sans fin je regardais filer le sable entre mes doigts, je découvrais qu ‘il est illusoire et vain de refermer la main.
Laissez-moi aller mon chemin, ce petit sentier hors du monde ilfoyakafokon